RETOURS DU JAPON : PHILIPPE QUESNE ET CHRISTOPHE FIAT AU T2G

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RETOURS DU JAPON : Christophe Fiat : Films de monstres japonais (daikaiju eiga) / Philippe Quesne : Anamorphosis アナモルフォーシス / Au T2G Gennevilliers / Du 12 au 25 avril 2013.

Deux séries autour du Japon en avril au T2G : Christophe Fiat y présentera une oeuvre intitulée « films de monstres japonais » et Philippe Quesne et son Vivarium Studio leur « Anamorphosis »…

Christophe Fiat : Films de monstres japonais (daikaiju eiga)
[12, 13, 17 avril à 20h30] [16 avril à 19h30] [14 avril à 15h]

« Un mois après la catastrophe du 11 mars 2011, au Japon, je visite Iwaki avec Oriza Hirata, une ville située à 40 kilomètres de la centrale de Fukushima. C’est un véritable cauchemar. À mon retour à Tokyo, plutôt que de décrire ce que j’ai vu, j’écris une pièce où le personnage principal est Godzilla. Sur scène, un performeur français, une comédienne japonaise et un traducteur. Quand ça commence, Michiko dit qu’elle veut jouer le rôle de Godzilla au cinéma et qu’elle se moque d’être enfermée dans une combinaison de caoutchouc pendant le tournage… Au fur et à mesure, les répliques en français et en japonais s’entremêlent et la tension monte jusqu’à l’évocation de la catastrophe du 11 mars 2011. Entre rêve éveillé et live musical, cette pièce bilingue dénonce les désastres liés au nucléaire. » – Christophe Fiat

Philippe Quesne : Anamorphosis アナモルフォーシス
[22, 24, 26 avril à 20h30] [23, 25 avril à 19h30]

On retrouve ce théâtre laborantin emblématique de l’artiste, un théâtre qui s’ingénie à modifier les conventions du genre et qui crée un univers aux contours incertains, mêlant le songe et la matière, la musique et les langages, la fumée et la lumière, la solitude et le groupe. Un théâtre qui part des rituels communs de la vie contemporaine pour les transformer sur scène en petites cérémonies, à la fois dérisoires et ludiques.

Pour Philippe Quesne, le plateau est un atelier, un laboratoire, un “espace vivarium”. S’y déroulent des situations extrêmes de l’ordinaire et s’y mènent des expériences infimes, propres à la mélancolie urbaine ou aux menaces environnementales. Tout s’y fomente souvent comme une comédie absurde et musicale, développée en milieu tempéré..

Visuel : « Anamorphosis », P. Quesne / copyright Philippe Quesne – Vivarium Studio

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